La French Tech continue de briller au plus haut. Cette fois-ci c’est le géant Microsoft qui veut contribuer au développement des start-up françaises en leur offrant une subvention de 70 millions d’euros.

Le géant Microsoft investit dans les start-up françaises.

Une importante subvention accordée aux start-up françaises

Le lundi 9 novembre 2011, le CEO du géant américain Microsoft Satya Nadella a rencontré le président François Hollande pour la première fois. Parmi les grandes lignes abordées lors de cette entrevue figure l’octroi de 83 millions d’euros à l’écosystème numérique de la France. Cette importante somme sera répartie en deux. 70 millions d’euros seront reversés aux start-up françaises. L’idée est d’offrir des crédits à l’innovation accessibles sur trois ans à près de 300 différentes entreprises. Microsoft octroiera aux protagonistes du cloud un appui ainsi que diverses prestations dans l’intelligence artificielle.

L’Education Nationale bénéficiera également d’une subvention. Les 13 millions d’euros restant seront accordés aux écoles françaises pour le déploiement du numérique.  Grâce à cette initiative, la firme américaine espère faciliter et accélérer l’apprentissage de l’informatique.

CISCO précède Microsoft

Depuis un certain temps, la French Tech séduit les géants de l’informatique étrangers. L’initiative de Microsoft est certes excellente mais elle n’est pas inédite. En octobre dernier, le président du conseil d’administration du groupe CISCO John Chambers a octroyé la bagatelle de 200 millions d’euros en faveur des start-up françaises. Fait étonnant : au départ, il n’était question que d’une enveloppe de 100 millions d’euros. Mais au dernier moment, le patron du géant américain de l’informatique a décidé de doubler sa mise.

Et c’est tant mieux ! Avec tous ces investissements, l’écosystème numérique français avance au galop. Parmi les principaux objectifs de CISCO figure l’avancement des innovations dans le domaine environnemental et social. Et à l’heure de la COP21, des nouveautés davantage orientées vers le « green » ne seront pas de refus.

Les start-up françaises sont dans les bonnes grâces de Microsoft